la race humaine est une vrai saloperie × par où commencer ? il y à bien longtemps déjà, que j'ai cesser de croire en cette race qui est la mienne.
Il y à aujourd'hui trente-quatre ans, que je suis né dans un clan, qui portait le nom d'Okamoto. Ce clan, n'était rien d'autre qu'un clan de mafieux, comme tant d'autre. - Aussi pourrit. Aussi sale.
Non. Que je me souvienne, il y avait une personne parmi tous ces rats que je considéré comme parfaite. Comme belle. Comme soigneuse et magnifique. Cet être n'était personne d'autre que ma petite sœur, Kana, qui est arrivée dix ans après moi.
Cette petite, qui malheureusement pour elle était arrivée dans un monde salit et complètement détourné de tout bon chemin. J'avais alors tout bonnement dix ans et, je m'occupais déjà d'elle comme si elle était ma propre fille ; oui, si jeune.
Nous vivions donc ainsi tout deux, au sein d'une infamie qui n'était dévoilée à personne, car tout ceux qui découvraient quoi que ce soit y trouvait la mort. - Je l'ai compris alors que j'étais âgé de seize ans, ma petite sœur, était à peine grande du haut de ses six ans.
Mon père qui se trouvait être le supérieur de tous avait achevé un homme devant ma petite perle - devant ma petite que je considéré ainsi comme ma fille.
C'est à ce jour qu'une haine forcée contre cet homme est naît en moi. Il n'avait pas le droit de souiller une âme comme la sienne. Pourtant, il l'avait fait. J'avais réagi de la sorte, car au fond de moi, j'avais voulu que jamais elle n'eut affaire à ça, qu'un jour, je la fasse partir de se monde sans scrupule ni raison d'être - si ce n'est que l'argent. Ha ! Oui, que ce mot leur pendait à la gueule.
En cohabitation avec ses bâtards nés jusqu'à mes vingt ans, c'est une nuit ; ce ne sont que quelques heures qui m'ont fait devenir ce que je suis. J'avais toujours eu la patience, la bienveillance durant toutes ses années de ne pas m'interposer dans quoi que ce soit - bien que j'eusse déjà refusé la descendance. Mais c'est cette nuit-là, qui fut un tournant dans ma façon d'être, ma façon d'agir ; mes façons de voir les choses : elles n'avaient fait qu'empirer.
Ils avaient osaient toucher Kana, ces fils de chiens et de traînées ; ils avaient osaient porter la main sur elle, qui n'était encore qu'une enfant. Bien qu'ils allassent abuser d'elle, c'est sa petite voix qui traversa tout le domaine familial. Elle m'appelait. Elle pleurait.
Je ne pus rester bien longtemps loin d'elle, alors qu'ils se trouvaient dans sa chambre. - Je me souviens encore de la façon dont ils riaient. Mais je me souviens encore très bien de la façon dont ils avaient de hurler.
Par chance, si je peux m'exprimer de cette façon, ils n'avaient pas encore sali son petit être si ce n'était que de leurs mains - pas plus. Et heureusement. La première chose que je fis, fut de rhabiller celle qui était de ma chère, de mon sang, en la menant en dehors de la propriété ; je venais la poser dans mon véhicule, en lui demandant de m'attendre, en lui demandant de fermer les yeux, en lui demandant de ne pas écouter.
Elle ne put rien faire d'autre que d'accepter mes demandes ; lui promettant de revenir le plus tôt possible. Car derrière moi, je venais à fermer pour ne pas qu'elle soit déranger.
C'est à ce moment que je fus le plus libre - le plus libre de chacun de mes mouvements. Et enfin, je m'étais dit que tout les cours et les entraînements que j'avais subis inutilement jusqu'ici allaient pouvoir me servir.
C'est d'un pas lent que je m'étais dirigé vers la chambre principale, où se trouvait donc mon père et quelque un de ses hommes, ma lame sortit de son fourreau.
La haine que j'avais alors continue jusqu'à aujourd'hui ressortit sans que je ne puisse m'en rendre compte, alors qu'en prenant mon père par les cheveux, je venais à le retourner pour qu'il soit face à moi : son regard et son visage me dégoûter encore plus aujourd'hui qu'hier, et demain, encore un peu plus le sachant mort.
Je n'ai donc aucunement hésité à lui planter cette lame dans le corps, le laissant hurler. Mais je ne pouvais pas m'éterniser : il était accompagné, alors autant tous les tuer.
Oui, il était vrai que mes actes ressemblaient à un petit génocide : mais ce fut le cas en fin de compte. Je n'en ai pas laissé un seul en vie : mon père avait été le premier à périr, car c'était à lui que revenaient les décisions. - Sans meneurs, rien ni personne ne pouvait faire quoi que ce soit n'est-ce pas ? Alors voyons les choses ainsi pour qu'elles soient une explication.
Pour ce qui était des deux hommes qui avait tenté de toucher Kana, je leur avais réservé un sort dés plus personnels, que je n'oserais citer ici.
C'est de cette façon-là que mon clan fut mis à sang et décimer.
Nous n'étions plus que deux. Nous n'étions plus que nous. Et nous le resterons.
dimanche 22 décembre, 2000
Depuis ce jour, le jeune homme à tout fait pour faire oublier ce passé à sa jeune sœur ; changeant d'identité, changeant de nom en reprenant une vie naturellement simple, en l'ayant élevé comme son père. D'ailleurs, celle-ci le considère comme son père biologique.
Mais son passé, lui, ne pouvait l'oublier. Alors, il c'était fixé un but : crée son propre clan, et qu'au sein de celui-ci règne respect et qu'aucune âme ne soit souiller comme il l'a connu. Par se fait, il est un Yakuza à son compte, récoltant sa richesse de son ancienne famille.