Matsumoto TooruJ'ai gagné tout ça : 93
J'ai : 34 ans
J'habite à : Kabukicho
Je suis : Yakuza à son compte
| Sujet: Matsumoto Tooru Mar 21 Jan - 12:09 | |
| Matsumoto Tooru CARTE D'IDENTITÉ
NOM : Matsumoto PRÉNOM : Tooru SURNOMS : / DATE + ÂGE : 11 février 1979 - 34 ans NATIONALITÉ : Japonais & Italien ORIENTATION + STATUT : Bisexuel & Célibataire ÉTUDES/MÉTIER : Ancien Yakuya + Ancien Taulard. Ce reconvertit dans le domaine de la justice : futur avocat. GROUPE : Justice.
J'suis comme ça
Faux-calme × Trop Impulsif × Imprévisible × Violent Presque jamais souriant × Froid aux premiers abords × Solitaire » Tu te ballades dans la rue, un homme vient te quémander une cigarette, qu'est ce que tu fais ? : « Il faudrait déjà que la personne ai le courage de m'approcher. Mais si cela se produit, je ne pense pas rejeter la personne malgré le fait que cela me casserais plus les couilles qu'autre chose. Mais imaginez-vous dans la même situation que celui/celle en face de vous, vous seriez bien content qu'on vous en prête non du feu ? - Alors pour moi, la réponse est facile : j'accepterais, même à contre-cœur. » » T'es au travail ou en cours, un collègue/camarade fait son gros boulet auprès de votre supérieur/professeur, comment réagis tu ? : « Dans le milieu dans le quel j'ai grandis, la solidarité était une chose primordiale. Alors je pense simplement que j'irai l'aider même si cela savourais dangereux pour moi même. Seulement, j'agirais si cette personne est "importante" à mes yeux. Sinon, je resterais sûrement sans rien faire en attendant que ça passe. »» La dernière fois y a eut une affaire importante (à toi de décider laquelle suivant ton groupe/métier) et tu l'as raté de peu, qu'est ce que t'as fait en l'apprenant ? : « La dernière chose que j'ai loupé à été la cause de mes années de prisons. Personnellement ; en parler, ce n'est pas dans mes plus grandes envies, alors je dirais simplement que la déception et la haine faisait partie de mon être à l'instant demandé. »» Tu rentres chez toi, inondation, il est 23h, pas de plombier avant le lendemain 8h, comment tu réagis ? : « Je pense que la meilleure solution serait de garder son calme. Malgré ça, je ne le garderais jamais alors bien sûr, j'irai directement le chercher, se plombier : par la peau de cul si il le faut ! »» Tu te fais agresser dans la rue, t'es plutôt du genre à fuir ou.. ? : « Moi, me faire agresser ? - Voyons cela comme ça. Alors... Moi, fuir ? Non mais vous rigolez. Plus sérieusement, je ne fuirais devant rien au monde, alors pour ce qui est de me battre, ce serait comme une partie de monopoly avec des potes, mais sans les cartes pour dire "chance". »» Quelle est la pire chose que tu aie pu faire pour arriver à tes fins ? : « Je n'ai jamais envisager de faire quoi que se soit de bien stupide pour arriver à quelque chose. J'ai toujours "travaillé" dur pour avoir ce que je voulais, alors je ne pense pas avoir d'exemple à vous donner pour cette question. »» Tu vas à une soirée avec tes ami(e)s/collègues, quelqu'un vient et te drague lourdement, comment tu réagis ? : « Et bien il faut dire que cela arrive souvent. Alors adepte de ce genre de comportement : je n'y prend plus compte. Après, si c'est une période de pénurie "sportive" dans mon lit et que, si la personne en face est à peu prêt à mon goût : je me laisserais tenter, tout en gardant évidemment mon sang froid. »» T'as une autre anecdote à nous raconter ? : « Pour une dernière question, je pense que vous auriez pu trouver mieux. Croyez vous que je vais vraiment vous déblatérer énormément de choses sur moi ? Et bien la réponse sera négative. »On a tous un passé je me demande pourquoi je ne suis pas partis ce jour là. je me demande, encore, pourquoi j'en suis là aujourd'hui. pourquoi je ne suis pas mort sur le coup ? - ha, la chance n'y est pour rien. × Matsumoto Tooru. Né un onze février mille-neuf-cent soixante-dix neuf à Osaka. Père italien, mère japonaise, métisse donc par ces parents, il maîtrise les deux langues. Un mètre quatre-vingt un pour soixante-sept kilos, brun à l'origine : c'est un homme muni d'un caractère mauvais ; celui-ci s'étant peu à peu développé au fil du temps, afin de donner ce qu'il est aujourd'hui.
Intéressant ? Jusque là pas vraiment. Mais voyons cet homme d'un peu plus prêt ; car sûrement, aucune description de lui même sortira de sa bouche.
C'est à Osaka que Tooru voit le jour pour la première fois ; un onze février à douze heure trois. Le temps était neigeux mais rien ne l'empêcher de déjà admirer le ciel blanc dans les bras de sa mère. Ce ciel, il aurait voulu le toucher plus d'une fois, mais il avait bien vite comprit que cela était impossible. Impossible comme vivre une vie "normale", car il se rendit bien vite compte que sa famille n'était pas des plus communes.
C'est un soir de Noël - cette fête religieuse que beaucoup considère comme une excuse pour un rassemblement familial, que le japonais avait décider de rester dans sa chambre. Âgé à cette époque de huit ans, cela faisait déjà bien longtemps qu'il trouvait tout cela bien stupide et sans intérêt. Déjà à son âge - oui, mais il fallait aussi avouer qu'il était bien précoce ; pour toute chose. Sûrement parce qu'il réfléchissait trop sur ce qui l'entourait. Et cette curiosité mêlé au savoir le perdit. Le soir même donc, il voulu se rendre dans le bureau de son père. Cet homme lui avait toujours dis qu'il était directeur et que donc, il avait toujours besoins de calme, de sérénité, et surtout, de n'être jamais dérangé quand quelqu'un de l'extérieur était dans la demeure. - Car oui, le jeune Tooru ne sortait jamais de sa maison, n'aimant absolument pas se mêler aux autres. L'école ? Il suivait des cours à domicile : ayant catégoriquement refuser de quitter sa chambre. Toquant une fois. Deux fois. Trois fois à la porte de la pièce de son paternel, le jeune homme prit la peine d'ouvrir lui même en pénétrant dans la salle. Vide. Elle était bien vide et c'est à ce moment là qu'il se faufila sans un bruit à la place du chef de famille, s'asseyant sur le siège. Là, en face de lui, se trouvait quelque dossier quelque peu ouvert, mais assez pour que le petit brun puisse y lire quelques mots munis d'une photo d'identité - sûrement. Intrigué, il l'avait prit avec lui, en sortant en courant de la pièce : prenant au passage bien le temps de refermer la porte sans bruit. Accourant dans sa chambre il s'enferma afin de se mettre sur son lit, s'asseyant bien en dessous de sa lumière. Bien sûr, il ne pu attendre une minutes de plus, sortant les feuilles qui ne lui appartenaient pas. C'est en lisant - malgré quelque caractères qui le dérangé énormément, mais qui ne brouillait pas sa lecture, que Tooru comprit bien vite de quoi il s'agissait. - Patron hein...? Et puis quoi encore ? Plutôt tueur à gage avec ce qu'il avait entre les mains. Mais cela allait plus loin. Car tout en haut de la feuille principal était annoté " adressé au clan Matsumoto ". - Au clan...? Il reconnaissait bien là son nom de famille. Mais il ne comprenait pas pourquoi ce mot était placé devant. Cela lui disait tout de même quelque chose, alors il mit tout ça de côté dans son esprit, afin de regarder plus attentivement la photo. - Non, il n'avait jamais vu cette personne. Entendant la voiture de son père arrivait sur son terrain, le jeune homme fut prit de panique, remettant bien les papiers dans leur pochette, courant la remettre à sa place : sur le bureau. Comme tout bon enfant, il descendit - le palpitant encore élevé, saluant son père, qui celui-ci venait à l'embrasser au niveau du front. Sous un petit sourire ; tout de même content de voir son père, il aperçut un homme derrière son progéniteur. C'est en se reculant qu'il fit tomber un verre, sa mère le stoppant pour éviter toute coupure. Tout en sursautant en sentant la main de cette femme sur lui, il tourna son visage - visiblement assez apeuré vers elle, avant de partir en courant dans sa chambre : sans aucune excuse. Claquant sans le vouloir la porte de sa chambre, il était encore plus paniqué en sachant que son père avait horreur de ça. Mais bizarrement rien. Aucune réprimande. Aucun rappel à l'ordre. Aucune voix. Tooru trouvait ça encore plus bizarre, mais il ne sortit pas pour autant de sa cachette, se calmant peu à peu en étant assis sur son lit, regardant le ciel en l'implorant de l'aider. - Croyant ? Il ne l'était pas dans un sens, mais il lui arrivait de s'adresser à quelqu'un - que lui même ne connaissait pas tout en regardant le ciel. - Ce ciel, qui l'attirait tant. Des bruits de pas se firent entendre. La démarche de son père : il la reconnaissait. Mais derrière lui... Il ne reconnaissait rien... Bien sûr, en toute évidence, il se doutait que c'était cet inconnu, mais il voulait essayer d'oublier tout ça. D'oublier tout ce qui pouvait avoir eu lieu en cette soirée. Mais cette curiosité le prit de nouveau, le poussant à sortir de sa chambre. Ils étaient dans le bureau du père... et la porte était légèrement ouverte : comment ne pas être tenté pour un enfant de huit ans ? Marchant à pas de velours, il posa sa tête contre le mur pour regarder à l'intérieur. "-en fin de compte j'aurai du rester dans ma chambre..." Ni une, ni deux, l'homme tomba à terre sous un coup de feu de la part de son père. A cet instant, il ne pu s'empêcher de fermer fortement les yeux, légèrement agrippé à la porte. D'un pas tout aussi discret que son fils, sa mère venait à le prendre délicatement afin de le ramener dans sa chambre, le consolant, lui parlant : simplement, comme toute mère le ferait.
mère. je n'ai jamais voulu vous décevoir. Aussi, je voulez vous dire que vous me manquez. - en contre partie, pardonnez moi.. pardonnez moi..
A travers les rues de Shibuya, Tooru ; âgé de vingt-ans maintenant, courait à tout allure : armes à la main. Muni d'un katana à la main droite d'une arme à feu dans la main gauche. Il poursuivait un homme, le visage plein de haine. Sa mère avait était tué par son propre père, lui, devenu Yakuza pour venger la femme qu'il aimait : celle qui l'avait mis au monde, qui l'avait protégé et couvé. Son père prenait donc la fuite, mais jamais il n'allait le lâcher : emplie de haine, de peine et de terreur pour cette nuit là, il ne pu s'empêcher de viser dans sa course afin de le toucher au niveau du bras droit. Malheureusement, cela ne stoppa pas son paternel, ce qui arracha un sourire des plus sadique et inconscient de la part du jeune mafieux. C'est en courant bien plus vite et avec une pointe de ruse qu'il tomba juste devant le vielle homme en question une fois être descendant d'un petit toit. C'est à ce moment là, qu'il sentit en lui toute cette haine ressortir : rien qu'en regardant le visage de son père. C'était bien trop pour lui, alors sous ce sentiment si désagréable, il tira une balle au niveau de la jambe de celui qui était considéré comme un inconnu aux yeux du métisse. Tombant à genoux devant son fils, il se reçut une autre balle au niveau de la deuxième jambe ; sous une couinement, sous une plainte, qui faisait bien trop plaisir au plus jeune. - Alors bâtard, ça fait mal hein ? Désormais accroupis pour le regarder dans les yeux, Tooru avait toujours se rictus perché au coin de ces lèvres. - J'espère que tu vas crier. J'espère que tu vas hurler comme tu l'as faite souffrir. Son poing partit seul dans le visage de l'aîné ; pour le plus jeune, trop de bien lui était donné sous ce coup, alors il en remit un autre, avant de prendre sa lame et de l'enfoncer au niveau de la première blessure dans l'épaule qu'il avait faite, rien que pour intensifier la plait, pour intensifier la blessure, la souffrance mais aussi, pour voir une expression jouissive sur le visage de son père qui était dû à sa douleur. Jubilant à l'idée de le tuer, c'est avec une balle placer au milieu de la tête de son père qu'il appuya sur la gâchette. Un sentiment de libération, de joie, de soulagement, de peine libéré, d'envie ; tout ceci avait été ressentit lorsque la balle avait été tirée. Son éblouissement intérieur ne pouvait malheureusement continuer, car c'est au moment ou il rangea sa lame que les forces de l'ordres firent leur apparition.
Coffré pour treize-ans et demi de prison, Tooru à pu échapper à plus gros car l'excuse était bien sûr " conflit entre mafia " - mais il était question de son père, alors aucun cadeau de lui avait était fait.
Aujourd'hui, sortit de peu, Tooru est âgé de trente-quatre ans. Malgré ces années passées au trou, il n'a jamais regretté un seul instant ces actes. Chaque jours encore, chaque jours durant, chaque jours nouveau, il n'a jamais cessé de regarder le ciel, parlant à quelqu'un. Cela faisait longtemps qu'il ne parlait plus seul. Cela faisait longtemps qu'il s'adressé à sa défunte mère.
Ne retournant pas dans un milieu hostile qu'était la mafia, cet homme à choisis de partir dans un droit chemin pour devenir avocat. Encore, il est simplement en apprentissage, mais comme tout, il se donne dans ce qu'il veut réussir et bientôt, il pourra être ce qu'il souhaite ; pour seule motivation : "niquer tout les êtres similaires à mon père" .
Derrière l'écran
Salut toi qui lis cette fiche. Mon pseudo RPG c'est Tooru. Comment je suis arrivée là ? Je suis déjà inscrit ~ - Miyawaki Takuya. Je serais présent sur le forum de manière toujours aussi aléatoire.. Pour ce qui est de la longueur de mes rps c'est tout aussi aléatoire que ma présence. sinon je voudrais encore dire que j'vous aimes ?
ft. KYO, DIR EN GREY - Code:
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<em> NOM DE LA CÉLÉBRITÉ</em> × <a href="http://lienversleprofil">nom du personnage</a> MADE BY LIGHTLESS.TCHI
Dernière édition par Matsumoto Tooru le Mar 21 Jan - 15:41, édité 10 fois |
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