Anzai Narumi

CARTE D'IDENTITÉ

NOM : Anzaï
PRÉNOM : Narumi
SURNOMS : Naru
DATE + ÂGE : 16 février, 24 ans
NATIONALITÉ : Japonaise
ORIENTATION + STATUT : Pansexuel, célibataire
ÉTUDES/MÉTIER : Informateur, hôte
GROUPE : Les citoyens

J'suis comme ça

amical × fouineur × rusé × insolent
serviable × moqueur × avenant × possessif

» Tu te ballades dans la rue, un homme vient te quémander une cigarette, qu'est ce que tu fais ? : Que veux-tu qu'j'y dise ? Si c'est demandé gentiment, on va pas faire d'histoire, j'lui lâche une clope et voilà. J'vais pas faire mon radin non plus, j'suis pas à une clope près sauf pour les impolis que je me contente de tout bonnement ignorer.

» T'es au travail ou en cours, un collègue/camarade fait son gros boulet auprès de votre supérieur/professeur, comment réagis tu ? : Hahaha, la réponse coule de source : j'me fous de sa gueule. Enfin... Tout dépend de la bouletittude du p'tit gars. Si ça risque de m'apporter des ennuis, je redresse immédiatement la barre histoire de le remettre vite fait dans le droit chemin avant que ça tourne en eau de boudin pour mon fessier.

» La dernière fois y a eut une affaire importante (à toi de décider laquelle suivant ton groupe/métier) et tu l'as raté de peu, qu'est ce que t'as fait en l'apprenant ? : Il est rare dans mon métier en tant qu'informateur que j'échoue et pourtant ça m'est arrivé. Autant dire que j'l'ai mal vécu, je me suis maudit pendant un bon moment et j'ai cru la fin de ma vie arriver quand mon client a constaté que j'ai pas su me débrouiller pour confirmer ses doutes avant qu'il ne soit trop tard. J'me suis cloîtré chez moi pendant deux semaines.

» Tu rentres chez toi, inondation, il est 23h, pas de plombier avant le lendemain 8h, comment tu réagis ? : Je m'assure que mon meilleur ami - aka mon ordi - et mes dossiers de recherche sont à l'abris, j'étale des serviettes de bain parterre et j'vais me coucher. Chiche même que j'me tape une grasse matinée et que j'me réveille quand mes voisins du dessous viennent gueuler à la porte de chez moi parce que l'eau coule par leur plafond !

» Tu te fais agresser dans la rue, t'es plutôt du genre à fuir ou.. ? : JE LUI PÈTE LES DENTS ! Sérieux, ceux qui ne font pas partie "du milieu" ne s'en doutent pas et me prennent pour un bouffon mais faut pas croire, un connaisseur vous dira que j'suis dangereux. Le premier qui me cherche des poux, j'lui colle mon couteau à cran d'arrêt sous la glotte, il va y réfléchir à deux fois avant de revenir.

» Quelle est la pire chose que tu aie pu faire pour arriver à tes fins ? : J'pense pas avoir fait grand chose de mal. Mais aux yeux des autres, utiliser des p'tits innocents pour arriver à obtenir ce que je veux c'est quelque chose de mauvais. La manipulation est mal vue mais il le fallait après tout !

» Tu vas à une soirée avec tes ami(e)s/collègues, quelqu'un vient et te drague lourdement, comment tu réagis ? : J'en profite pardi ! En tant qu'hôte j'ai l'habitude qu'on me drague de façon plus ou moins maladroite et je ne peux m'empêcher de me jouer des naïfs collants. Ça va, ça va, j'suis un homme, je suis faible et un physique agréable ne manquera pas de me convaincre. Juste pour une nuit et même si j'ai pas l'droit, j'm'en tatane les miches.

» T'as une autre anecdote à nous raconter ? : Il paraît que j'étais un bébé qui pleurait énormément. Je ne faisais pitié à personne, la preuve : mes premiers mots furent "ta gueule", c'est un exemple de plus qui fait de moi, aux yeux de ma famille, un raté sourd à toute éducation peu importe l'âge.

On a tous un passé

Aussi haut que tu sois assis, ça n'est jamais que sur une chaise, pour ceux d'en bas t'en scier les pieds, ça n'est pas si balaise. × Avertissement : Si vous comptez sur moi pour vous raconter quelque chose d'intéressant, passez votre chemin, c'est préférable. Cette histoire n'est ni sympathique, ni croustillante, ni celle d'un gamin formidable. Si vous attendez mieux, et bien sortez d'ici, changez de page. On en connaît qui ont le cul bordé de nouilles comme dise les plus vieux, mais moi j'en connais un que la cantinière a oublié. Quand ça a été le moment de la distribution de la chance, ce pauvre crétin est certainement parti aux chiottes. N'espérez pas la joie, le rose, les confettis, les paillettes, tout le tralala de chochotte. Sa vie, c'est ici, dans les bas-fonds de la société. Sa vie, elle a toujours reposé sur un vaste bobard. Et regardez le, cet imbécile heureux, comme il sourit malgré tout avec cette insouciance feinte à la perfection.

Anzai Narumi, tapant bientôt dans ses 25 ans semble être un homme comme tous. Métro, boulot, dodo, la routine, les soirées en tous genre, un caractère facile à vivre et le sourire naturel. On lui imagine une enfance cool, entouré de ses parents et de camarades avec lesquels jouer. On lui prêterait des études peu longues mais suffisantes. Un petit boulot sans prétention et pourquoi pas une future fiancée douce et agréable à regarder.

STOP ! Changez de cadre immédiatement. Mettez de côté vos illusions utopistes et ne jugez pas sans savoir !

Enfanté par le viol, Narumi n'avait rien de ces enfants désirés qu'on est tous prêts à aimer et à couvrir de cadeaux. Bien sûr, histoire de bien remuer le couteau dans la plaie, sa mère fut piégée par ce que l'on appelle le déni de grossesse. Cette gestation sans symptômes aurait pu être menée à terme juste en échange de quelques larmes de douleur et de dégoût de la pauvre gamine de dix-sept ans complètement dépressive et hystérique à l'idée qu'on lui écarte les cuisses pour y voir un peu plus clair. Ça aurait pu, s'il n'y avait pas eu cet accident en bagnole qui lui coûta quelques neurones. Trop peu pour qu'elle meure, juste assez pour qu'elle finisse dans le coma et qu'elle se réveille sans le moindre doute de ce qui avait bien pu sortir de son corps durant son inconscience.

Bref. Une naissance chaotique qui a bien failli n'avoir jamais eu lieu, des grands-parents paniqués à l'idée d'être grands-parents et une nana traumatisée qui zappe complètement son gosse. Joli. Très joli comme début de vie, n'est-ce pas ?

Seuls les deux principaux concernés par l'histoire n'en savaient rien. Mais au fond ils auraient du le sentir. Narumi, le gosse du viol, le bâtard croisement entre une pétée de la tête et un salaud de violeur, il aurait bien dû capter pourquoi ses exploits étaient moins remarqués que ceux de ses cousins, pourquoi ses cadeaux étaient les moins beaux au pied du sapin. Après tout, qui a envie de faire de son mieux pour un déchet ? Il a grandi en décalage avec les autres, sous le regard réprobateur des adultes de la famille Anzai. On lui a fait croire qu'on l'avait trouvé auprès d'un SDF. On lui a fait croire que son sang ne venait pas du leur et qu'une poubelle fut sa première demeure. Enfant, il était si naïf, si crédule. Il passa son enfance à se battre contre les enfants moqueurs. Sa condition amusait, sa connerie aussi. Lui l'orphelin débile, pour lui furent créées quelques chansons à but exclusivement cruel.

Dommage pour la p'tite famille, vint la merde dans l'engrenage : faut pas sous-estimer un sale gamin fouineur jusqu'à la moelle. Terré dans l'ombre comme un enfant guettant le Père-Noël, la vérité lui explosa en pleine gueule alors qu'il était âgé de neuf ans à peine. Ca fut blessant, extrêmement douloureux, n'en doutez pas. Alors comme ça, tout ce qu'il croyait vrai était balayé en quelques répliques échangées entre les vieux. Entre-nous, n'est-ce pas ce qu'on appelle un putain de foutage de gueule ?! Oh si... Alors cette femme qui leur rendait visite avec un petit bébé entre les bras, c'est elle sa mère ? Celle qui le regarde de haut en priant ses grands dieux pour que son rejeton ne tourne pas de la sorte ? Ouais p'tit, ta génitrice c'est cette grognasse.
Il a fallu se faire à l'idée. Tous les soirs il a pleuré comme un crétin sous la douche pendant des mois avant que la vieille en ai marre de l'entendre chouiner en secret et vienne s'en inquiéter. S'en suivirent des explications, des reproches, le fait que, merde, en grandissant il ressemble de plus en plus à son satané géniteur et que c'est une torture de le voir. Mais il fallait tout supporter en silence pour le bien de cette bonne femme accidentée par le passé. Sans déconner...
Un jour, lorsqu'elle est venue, il a voulu tout lui dire mais lorsqu'il s'est trouvé face à elle... Sa vue à son propos a été influencée. Sa mère, putain ! Il ne pouvait pas se permettre de briser celle qui lui a donné la vie. Alors à partir de là, il décida de ne rien dire de tout ça.

Les années de collège furent relativement calmes. Il se contentait de fumer en cachette et de traîner avec ses « potes », des gars qui trouvaient cool de traîner avec un mec à la mauvaise réputation aux quatre coins de la ville. Faut dire que c'est tellement la classe de faire mauvais genre...
Au lycée, Narumi fut immédiatement étiqueté Yankee alors il décida de suivre cette voie là. Il bossait pas en cours, il séchait, terrorisait les plus jeunes et fracassait les plus vieux comme si tout ça, au fond, n'avait pas de réelle incidence pour le futur. « Quel futur ? » vous aurait-il répondu si vous lui aviez tenu un discours moralisateur et atrocement barbant. Les années passèrent et ses conneries s’aggravèrent : rackets, dégradations, agressions, vols, participations à des cambriolages. La rage et la haine qu'il intériorisait donnaient à ses actes d'inquiétantes proportions. Il dû changer trois fois de lycée car il en a été dégagé. Quelle importance ça avait à ses yeux ? Aucune, tant et tant de personnes ne voulaient déjà pas de lui alors ça en plus ou en moins, rien à foutre. Voilà.

Il passa quelques mois en prison à l'âge de vingt ans pour violence aggravée et c'est là qu'il se trouva quelques contacts qui l'aidèrent à trouver sa voie future. Lorsqu'il sortit de taule, il savait exactement où aller et qui contacter pour se faire du pognon. Il retourna chez ses grands parents une dernière fois pour récupérer ses affaires et leur laissa une lettre pour les remercier d'avoir brisé son innocence et de ne pas l'avoir laissé se voiler la face toute sa vie. Il décampa par la suite et se rangea aux côtés d'un chef dealer de drogues le temps de se faire un peu d'argent et au final, il prit son indépendance.

Narumi est actuellement un informateur. Il fouine partout, se renseigne sur demande, fait du piratage et vend ses trouvailles. Il ne bosse pour personne en particulier. Tantôt pour les Yakuza, tantôt pour les flics. Son jeu est double à ses risques et périls. Pour compléter ses revenus, il lui arrive de rendre d'autres services divers et variés. Jusqu'à maintenant il grimpe plutôt bien vers le sommet de son art et il est chanceux. Comme couverture, il a pu entrer comme hôte dans un bar réputé car après tout, quel meilleur endroit pour trouver des infos supplémentaires qu'un bar bien fréquenté ? De plus, voir les autres hôtes se faire des rivalités soit disant discrètes l'amuse pendant que lui, il reste sagement dans son coin.

Allez, à quand la nouvelle période de poisse maintenant ?

Derrière l'écran

Salut toi qui lis cette fiche. Mon pseudo RPG c'est Hierophant et j'ai 20 années de vie derrière moi, tout ça ouais. Comment je suis arrivée là ? Grâce à la publication Facebook de Laora. Je serais présent(e) sur le forum 5 jours sur sept. Pour ce qui est de la longueur de mes rps c'est plutôt cool (400 à 600 mots) ou moyen (600 à 800 mots) ou long (800 à +1000 mots), tout dépend de la personne qui joue avec moi et du rp sinon je voudrais encore dire que WAZAAAAAAAABI.

ft. Mizushima Hiro

Code:

<em> MIZUSHIMA HIRO</em> × <a href="http://tokyo-insomnia.forumjap.com/u23">anzai narumi</a>

MADE BY LIGHTLESS.TCHI

WOO TOUT EST OK

Ouais ça y est t'es validééé(e) ! pfiouh une bonne chose de faite hein ? Bah t'as plus qu'à courir faire ta fiche d'évolution. T'inquiètes pas tout est expliqué ! Tu peux aussi te dépêcher de faire une demande de rp. Si tu l'as pas fait check le système de points, comment ça fonctionne les groupes tout ça. J'ai oublié quoi ? Ah bah, LE PLUS FUN ! Tu peux aller flooder. Et aussi, aussi aussi gagner des points en votant pour le forum. C'est pas trop cool tout ça ?

Amuses toi bien